Caroline François interview

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« Mon métier consiste à mieux positionner les sites web sur Internet pour augmenter leur visibilité »

Après un bac +2 en technique de commercialisation et avoir vécu dans plusieurs pays, Caroline François, française d’origine, décide de s’installer en Belgique, dans la commune de Fauvillers et de se lancer en tant rédactrice web freelance.

Pourquoi avoir voulu créer votre entreprise ?

En Belgique, les offres d’emploi CDI ne me convenaient pas. D’ailleurs, le seul emploi qu’on me proposait en CDI dans la rédaction, c’était pour un site X au Grand-Duché du Luxembourg !

C’est comme ça que je me suis décidée à me lancer en Freelance dans la rédaction web avec une spécialisation en référencement naturel, qui consiste à mieux positionner les sites sur Internet pour augmenter leur visibilité. Je me suis formée pour retravailler mes bases et proposer un service de qualité à mes clients.

Quels sont les services que vous proposez à vos clients ?

  • La rédaction web, donc la rédaction de pages web optimisées pour le référencement naturel mais aussi pour que l’utilisateur sache exactement ce que le site vend.
  • La rédaction d’articles de blog : j’ai une cliente qui fait du coaching, j’écris donc ses articles de blog en fonction des vidéos qui sortent la semaine. Je fais ici un article depuis un angle différent et complémentaire de la vidéo. Ça permet d’y ajouter de la valeur pour l’internaute. J’écris aussi des articles viraux qui ont vocation à se partager sur les réseaux sociaux pour attirer du trafic sur le site et des articles « invité » dans le but d’être publié sur d’autres sites que celui de mon client afin de créer des liens qui renvoient vers le site de mon client.
  • L’élaboration d’une stratégie digitale de rédaction : Je propose donc une analyse SEO mais toujours uniquement sur les contenus écrits, je ne fais pas d’audits techniques des sites web. Je fais aussi des audits sémantiques pour savoir sur quels mots-clés Google serait le plus à même de classer le site de mon client.
  • L’écriture de newsletters pour capter le trafic.

Avec l’écriture de tous ces textes, ressentez-vous parfois le syndrome de la « page blanche » ?

Le manque d’inspiration est davantage ressenti par les écrivains puisqu’ils travaillent plus avec leur créativité. Mon métier se rapproche plus de la rédaction technique avec des codes de structure, de vocabulaire. J’ai parfois les briefs de mes clients qui me guident dans l’écriture. Là où j’ai des manques d’inspiration, c’est plus pour attaquer un angle original d’un article. Mon métier consiste aussi à faire des recherches. Et c’est en fonction de ces informations que je structure mes articles. Donc je n’ai pas de manque d’inspiration.

Pouvez-vous nous en dire plus sur l’importance d’un bon référencement sur les moteurs de recherche ?

Un bon référencement, c’est trois piliers :

  • Technique : le site doit être compatible sur l’ordinateur, la tablette et le mobile. Il doit être rapide, etc. Il faut ici faire appel à un développeur.
  • Le contenu rédactionnel, qui est mon métier. Il s’agit donc d’écrire des textes ou des articles de blog qui vont permettre de bien positionner le site de mon client sur les moteurs de recherche. Il s’agit aussi d’intéresser l’internaute, de l’informer et de le pousser à l’action.
  • La notoriété, qui dépend de l’âge du site, de sa réputation, etc. Je propose ici des solutions pour tenter de concurrencer des sites de grande envergure.

Sans l’un de ses trois piliers, le site est bancal !

L’objectif est d’être sur la première page de Google, car 90% des internautes ne dépassent pas la première page lors d’une recherche. L’idéal est même d’être dans le top trois. Cependant, on ne peut jamais garantir un bon positionnement. Un rédacteur qui vous affirme le contraire est un escroc, fuyez ! Il y a énormément de critères en jeu et l’algorithme de Google qui détermine ce positionnement est secret. Notre métier en tant que rédacteur est de s’informer des nouvelles techniques SEO, des mises à jour de Google, … On doit se former continuellement car c’est un domaine en changement constant.

Un conseil que je peux donner aussi, c’est de garder un œil sur les statistiques de votre site et donc de les analyser régulièrement. C’est d’ailleurs un des services que je propose au client.

Pouvez-vous nous donner les étapes de votre accompagnement client ?

J’analyse d’abord le site du client et voit ce qui peut être amélioré. C’est des conseils gratuits que je livre au premier rendez-vous.

Le premier rendez-vous sert à apprendre à se connaitre. Mon métier étant peu connu, le client ne sait pas toujours exactement ce que je peux lui offrir comme services.

À noter que je ne suis pas Community Manager (ndlr : gestion des réseaux sociaux) même si je peux rédiger du contenu pour ses réseaux sociaux mais ce n’est pas ma spécialité.

Je peux travailler sur du court terme et écrire un texte de 100 mots sur un produit du client. Mais je travaille aussi beaucoup sur du long terme avec un article à écrire par semaine, par exemple.

Je donne également beaucoup de conseils au fur et à mesure, car mon désir n’est pas de garder mon savoir pour moi mais d’éduquer les clients pour qu’ils puissent être plus autonomes. C’est un rapport de confiance.

Est-ce que vous pensez que la crise sanitaire a pu faire évoluer les mentalités des indépendants sur l’importance d’être bien présents/référencés sur Internet ?

J’ose espérer que la crise a éveillé les consciences sur l’importance d’être visible sur Internet aujourd’hui, surtout au niveau local. Quand on est une petite entreprise, il faut mettre toutes les chances de son côté pour être remarqué. Si je vais au restaurant, mon réflexe est d’aller voir sur Google s’il est bien noté.

Quels sont vos projets futurs ?

Joker !!! Le problème est qu’en tant qu’entrepreneuse, on a toujours le nez dans le guidon et on ne se pose jamais pour réfléchir à l’avenir.

J’aimerais diversifier ma clientèle. En m’intéressant aux activités de mes clients, j’apprends énormément de choses. Quand une personne crée son entreprise, c’est son bébé. J’aime donc entendre mes clients parler de leur métier, de ce qu’ils vendent, de ce qui les animent. C’est super important pour ensuite les représenter sur leur site.

J’ai aussi un objectif qui est de lancer mon activité sur le crochet moderne et inspirant. Je vais créer un blog et proposer des ateliers le soir au Vauxhall de Vaux-sur-Sûre. Je souhaite permettre à de jeunes femmes de trouver du temps pour elles, de développer leur créativité par le crochet. J’aimerais aussi tordre cette idée du crochet dédié aux mamies avec leurs écharpes et leurs pulls qu’on a honte de porter. Je veux permettre aux gens de faire du crochet pour se faire plaisir, pour faire des cadeaux qu’on est fière d’offrir. Le crochet a aussi un côté très méditatif. C’est aussi ce côté « développement personnel » que j’aime. On a besoin aujourd’hui de s’évader et de penser à autre chose !

Je Main Muse

Pour en savoir plus sur les cours de crochet qui seront prochainement proposés par Caroline, direction : www.jemainmuse.com.

Coordonnées :

Caroline François Rédaction

Fauvillers

0485/87.96.63

carolinefrancoisredaction@gmail.com

LinkedIn Caroline François

Caroline François interview

« Mon métier consiste à mieux positionner les sites web sur Internet pour augmenter leur visibilité »

Après un bac +2 en technique de commercialisation et avoir vécu dans plusieurs pays, Caroline François, française d’origine, décide de s’installer en Belgique, dans la commune de Fauvillers et de se lancer en tant rédactrice web freelance.

Pourquoi avoir voulu créer votre entreprise ?

En Belgique, les offres d’emploi CDI ne me convenaient pas. D’ailleurs, le seul emploi qu’on me proposait en CDI dans la rédaction, c’était pour un site X au Grand-Duché du Luxembourg !

C’est comme ça que je me suis décidée à me lancer en Freelance dans la rédaction web avec une spécialisation en référencement naturel, qui consiste à mieux positionner les sites sur Internet pour augmenter leur visibilité. Je me suis formée pour retravailler mes bases et proposer un service de qualité à mes clients.

Quels sont les services que vous proposez à vos clients ?

  • La rédaction web, donc la rédaction de pages web optimisées pour le référencement naturel mais aussi pour que l’utilisateur sache exactement ce que le site vend.
  • La rédaction d’articles de blog : j’ai une cliente qui fait du coaching, j’écris donc ses articles de blog en fonction des vidéos qui sortent la semaine. Je fais ici un article depuis un angle différent et complémentaire de la vidéo. Ça permet d’y ajouter de la valeur pour l’internaute. J’écris aussi des articles viraux qui ont vocation à se partager sur les réseaux sociaux pour attirer du trafic sur le site et des articles « invité » dans le but d’être publié sur d’autres sites que celui de mon client afin de créer des liens qui renvoient vers le site de mon client.
  • L’élaboration d’une stratégie digitale de rédaction : Je propose donc une analyse SEO mais toujours uniquement sur les contenus écrits, je ne fais pas d’audits techniques des sites web. Je fais aussi des audits sémantiques pour savoir sur quels mots-clés Google serait le plus à même de classer le site de mon client.
  • L’écriture de newsletters pour capter le trafic.

Avec l’écriture de tous ces textes, ressentez-vous parfois le syndrome de la « page blanche » ?

Le manque d’inspiration est davantage ressenti par les écrivains puisqu’ils travaillent plus avec leur créativité. Mon métier se rapproche plus de la rédaction technique avec des codes de structure, de vocabulaire. J’ai parfois les briefs de mes clients qui me guident dans l’écriture. Là où j’ai des manques d’inspiration, c’est plus pour attaquer un angle original d’un article. Mon métier consiste aussi à faire des recherches. Et c’est en fonction de ces informations que je structure mes articles. Donc je n’ai pas de manque d’inspiration.

Pouvez-vous nous en dire plus sur l’importance d’un bon référencement sur les moteurs de recherche ?

Un bon référencement, c’est trois piliers :

  • Technique : le site doit être compatible sur l’ordinateur, la tablette et le mobile. Il doit être rapide, etc. Il faut ici faire appel à un développeur.
  • Le contenu rédactionnel, qui est mon métier. Il s’agit donc d’écrire des textes ou des articles de blog qui vont permettre de bien positionner le site de mon client sur les moteurs de recherche. Il s’agit aussi d’intéresser l’internaute, de l’informer et de le pousser à l’action.
  • La notoriété, qui dépend de l’âge du site, de sa réputation, etc. Je propose ici des solutions pour tenter de concurrencer des sites de grande envergure.

Sans l’un de ses trois piliers, le site est bancal !

L’objectif est d’être sur la première page de Google, car 90% des internautes ne dépassent pas la première page lors d’une recherche. L’idéal est même d’être dans le top trois. Cependant, on ne peut jamais garantir un bon positionnement. Un rédacteur qui vous affirme le contraire est un escroc, fuyez ! Il y a énormément de critères en jeu et l’algorithme de Google qui détermine ce positionnement est secret. Notre métier en tant que rédacteur est de s’informer des nouvelles techniques SEO, des mises à jour de Google, … On doit se former continuellement car c’est un domaine en changement constant.

Un conseil que je peux donner aussi, c’est de garder un œil sur les statistiques de votre site et donc de les analyser régulièrement. C’est d’ailleurs un des services que je propose au client.

Pouvez-vous nous donner les étapes de votre accompagnement client ?

J’analyse d’abord le site du client et voit ce qui peut être amélioré. C’est des conseils gratuits que je livre au premier rendez-vous.

Le premier rendez-vous sert à apprendre à se connaitre. Mon métier étant peu connu, le client ne sait pas toujours exactement ce que je peux lui offrir comme services.

À noter que je ne suis pas Community Manager (ndlr : gestion des réseaux sociaux) même si je peux rédiger du contenu pour ses réseaux sociaux mais ce n’est pas ma spécialité.

Je peux travailler sur du court terme et écrire un texte de 100 mots sur un produit du client. Mais je travaille aussi beaucoup sur du long terme avec un article à écrire par semaine, par exemple.

Je donne également beaucoup de conseils au fur et à mesure, car mon désir n’est pas de garder mon savoir pour moi mais d’éduquer les clients pour qu’ils puissent être plus autonomes. C’est un rapport de confiance.

Est-ce que vous pensez que la crise sanitaire a pu faire évoluer les mentalités des indépendants sur l’importance d’être bien présents/référencés sur Internet ?

J’ose espérer que la crise a éveillé les consciences sur l’importance d’être visible sur Internet aujourd’hui, surtout au niveau local. Quand on est une petite entreprise, il faut mettre toutes les chances de son côté pour être remarqué. Si je vais au restaurant, mon réflexe est d’aller voir sur Google s’il est bien noté.

Quels sont vos projets futurs ?

Joker !!! Le problème est qu’en tant qu’entrepreneuse, on a toujours le nez dans le guidon et on ne se pose jamais pour réfléchir à l’avenir.

J’aimerais diversifier ma clientèle. En m’intéressant aux activités de mes clients, j’apprends énormément de choses. Quand une personne crée son entreprise, c’est son bébé. J’aime donc entendre mes clients parler de leur métier, de ce qu’ils vendent, de ce qui les animent. C’est super important pour ensuite les représenter sur leur site.

J’ai aussi un objectif qui est de lancer mon activité sur le crochet moderne et inspirant. Je vais créer un blog et proposer des ateliers le soir au Vauxhall de Vaux-sur-Sûre. Je souhaite permettre à de jeunes femmes de trouver du temps pour elles, de développer leur créativité par le crochet. J’aimerais aussi tordre cette idée du crochet dédié aux mamies avec leurs écharpes et leurs pulls qu’on a honte de porter. Je veux permettre aux gens de faire du crochet pour se faire plaisir, pour faire des cadeaux qu’on est fière d’offrir. Le crochet a aussi un côté très méditatif. C’est aussi ce côté « développement personnel » que j’aime. On a besoin aujourd’hui de s’évader et de penser à autre chose !

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